jeudi 30 avril 2009

Li tchanson dè Rôbaleu

Li tchanson dè rôbaleû
(Paroles èt musique da Jean - Denys BOUSSART

Li doûs vint d'prétins, coréve è pazê
dj'el hoûtév' mûzer.
Il a-st-abann'né, tot passant 'd'lé mi
on foyou djèni:
Simpe rimê d'amoûr, binamé mèssèdje;
Oh! vos qui l'a s'cri, mostrez-m' vosse visèdje;
Dji v's-inm'rè todi

Di vos mots d'amour, mi, pove robaleu
dji fa-st-on rèspleu
Ine fàbite passève, qwand dji l'a t'chanté,
èle mi l'a hapé;
Sùr po l'gruziner à long di s'voyèdje,
si vos l'ètindez, mostrez-m' vosse visèdje:
dji v's-inm'rè todi!

Lès an-nèyes passèt, li fàbite èst mwète
avou l' tchansnète
Fàt creûre màglé tot, qu'ine saqui s'sovint,
tel'fèye on l'ètind:
On vix bribeù l'tchante avà lès viyèdjes,
si vos l'rescontrez, toùnez vosse visèdje:
Lu v's-inmrè todi !

la la la la la, la la la la la
la la la la la
Fàt creûre màgré tot, qu'ine saqui s'sovint,
la la la la la
On vix bribeù l'tchante avà la viyèdjes
la la la la la, la la la la la
Dji v's-inmrè todi !


En son temps, j'avais demandé à Jean Denys l'autorisation de publier sa chanson dans le journal d'un amis (Mes Clockis), je suppose qu'il ne m'en voudras pas de la republier ici

mercredi 29 avril 2009

La crise

En feuilletant un ancien numéro de la revue du Royal Caveau Liegeois, j'ai découvert un très beau texte en wallon (le vrai, pas le massacré actuel auquel je ne comprend rien) de Joseph Halleux, j'ignore en quelle année ce texte à été écrit, la seule indication, c'est sa publication en 1964, il y a quarante-cinq ans
Rien ne change sous le soleil, comme disait ma grand-mère:

Li crise !

C'èst l'crise; i n'a pus rin qui va,
Tos lès pôrtèfeùyes sont st-à plat!
Les djins div'net neûrasténiques
Ou bin toûrnet st-à bolcheviks!
On n'a mày' vèyou tant d'misère,
Pàtêrnostêr
Tot l'onde si troûve è l'imbaras,
Avé Maria!
Oûy, po magni 'ne crosse, Sainte - Bablène,
Fàt sètchi l'diale po lès deùs cwennes!
Amèn!

D'ine eûre à l'aûte, èt tos les djoûs,
On r'monte li hôye, le boûre, les oûs!
Portans on n'gangne càsi pus rin,
Et lès louwis ni bahèt nin!
Si n's'avans mày on deur ivier,
Pàtêrnostêr
Kimint f'rans-gns po passer çoulà?
Avé Maria!
Alez, i n'a d'qwè fé 'ne seûre mène,
Li vicàreye divint 'ne pufkène!
Amèn!

Dj'a st-ine feume qu'èst pôr fwért hayàve
Qwads èle n'a rin po mète so l'tàve,
Et d'vant l'àrma, vûd d'pôy longtimps,
Dj'étinds quèle grogne èt braît tot l'timps
Qui n'sos-dje-dju six pids bas d'zos tére
Pàtêrnostêr
Dji sèreuûs qwite di mès tracas
Avé Maria!
Et, mi, d'li vèyi fé s'narène
Dji m'vas catchî d'vins lès gordènes
Amèn

A l'tiesse di nosse gouvernimint
Nos minisses - qui n'kinohèt rin-
Ni savèt so qué pid danser.
Portant, dès censes ènn'a st-assez,
Qu'ils fèsse dôsser les milionaîres,
Pàtêrnostèr
Lès banquis èt les gros magnats
Avé Maria!
Coula nos èspêtch'reût d'li rwène,
Mins n'polèt mà, çoula s'advène...
Amèn

Come on n'cwire nou r'méde à çoula,
Nos nos trovans d'vins dès laîds draps;
Mins come nos n'î sàris rin fé,
I fàt bin qu'nos l'léyanse aler,
Qwand on z'a l'ocàsion di splaire,
Pàtêrnostèr
I n'fàt nin leyi l'plaisir là
Avé Maria!
En attendant que l'beau temps r'vienne,
Dihans-nos sins fé 'ne trop laîde mène:
Amen

Joseph HALLEUX

Homme médecine et herboristerie





L'Homme et la Femme Médecine

Dans la tradition amérindienne, les Hommes et les Femmes Médecine étaient des herboristes. Ils aidaient les gens à maintenir le corps en harmonie, les pensées saines et l'esprit pur.
Les amérindiens utilisent toujours les herbes ou les plantes pour se purifier et dans leurs prières. Ils pensent que de cette façon leurs remerciements seront guidés vers le Grand Esprit, par la fumée provoquée lorsqu’ils brûlent l’herbe ou les plantes. Les plus fréquemment utilisées sont la sauge, le foin d'odeur, le cèdre et le tabac. Ils les utilisent comme encens ou déposent ces herbes dans les rivières ou sur le sol en guise d'Offrande au Créateur et à la Nature.
Chaque cueillette avait un rituel : L’indien commençait par s’asseoir à coté de la plante qu’il allait choisir. Il regardait autour de lui et prenait de le temps de respirer calmement pour s’imprégner de son esprit . Ensuite, il lui parlait afin de lui expliquer les raisons pour lesquels il avait besoin d’elle. Seulement après avoir communiqué avec la plante, il la coupait ou la cueillait en laissant une offrande à la place, en signe de respect et de gratitude envers son Esprit, il prenait seulement ce dont il avait besoin. De retour au camp, il lassait sécher la plante ou l’herbe pendant quelques jours dans un endroit sombre et bien aéré. Lorsque celles-ci étaient bien séchées, il coupait les plantes de façon à pouvoir les mêler et les nouer ensemble. Après, il ne restait plus qu'à l’utiliser en fonction de la cérémonie, de la danse, des chants ...
Les plantes utilisées sont :
  • Cèdre : ( Thuya occidentalis ) symbolise l’équilibre. Il est un excellent purificateur qui prédispose à la prière, au calme et à la Sérénité. Il attire les Énergies Bénéfiques. Sert a soigner les infections très variées et éloigne les mauvaises rêves. Il est surtout utilisé lors de cérémonies où la Pureté, l’Harmonie et la Sérénité sont essentielles et le cèdre apporte ces trois symboles
  • Chèvrefeuille : utilisé pour soigné pour diverses affections liées a l’élément de l’EAU (rhume, engorgement du foie, de la rate etc.). Son odeur très rassurante permet de créer une ambiance qui favorise la détente des émotions. L’arome sucré suscite le bonheur, la sécurité et l’amour lors de rencontre familiale et communautaire.
  • Érable : l’arbre symbolise la générosité du cœur. Il est utilisé pour mettre une ambiance chaleureuse et purifier les éléments indésirables et nocifs de l’air lors de rencontre et événement heureux.
  • Foin d'odeur :( Hierochloe odorata ) Est appelé aussi les ¨cheveux de la terre mère ¨, c’est une plante féminine. Elle attire les Énergies propices à l'Harmonie, elle invite les énergies bénéfiques et favorise les ambiances agréables. Mais elle est aussi très bénéfique pour les hommes car elle incite l’ouverture et la réception de l’esprit a des ondes positives.
  • Pin : Utilisé pour soigner diverses affections liées a l’éléments de l’air (affections pulmonaire, laryngites, asthmes etc..). Elle stimule la joie, l’enthousiasme. Elle favorise aussi l’inspiration dans le travail, dans la création et créer une ambiance saines pour toutes sortes d’activités. Son odeur évoque les grands espaces.
  • Romarin : Symbolise la pureté et la force. Les huiles essentielles du romain, son utilisées pour nettoyés les objets devant être utilisé par les aimes et les hommes et les femmes médecine. Il a aussi des effets bénéfiques sur la peau et les cheveux. Sert aussi à mettre une ambiance propice aux activités thérapeutiques.
  • Sauge : ( Salvia sp.) plante très importante pour les amérindiens elle les accompagne dans beaucoup de rituels. Elle est employée dans toutes les Traditions Indiennes. Elle possède une action purificatrice très puissante. Ils l’utilisent pour purger l’ambiance, les êtres, les objets. Sa fumée est réputée purifier l'atmosphère et même les fibres de l'aura. Elle transforme les énergies négatives en énergies positives. Elle peut aussi servir pour accueillir le nouveau jour.
  • Sapin : Utilise pour soigner divers affections liées a l’élément de la TERRE (cicatrisation des plaies ; élimination du mucus du corps). Le sapin est une plante antiseptique et bactéricide. L’odeur provoque un sentiment de bonheur tranquille. Permet de créer une ambiance naturelle comme celle rencontrée dans les forets canadiennes.
  • Tabac : ( Nicotiana tabacum ) utilisé fréquemment sous forme d'offrande, pour protéger la santé des Peuples, pour assurer leur sécurité dans des tempêtes , pour demander l'aide du Grand Esprit ou pour exprimer sa gratitude pour des faveurs obtenues . On peut aussi offrir du tabac à une pierre , à l'esprit animal ou d'un arbre que l'on vient d'abattre . On dépose un peu de tabac sur le sol avant de faire une prière de Remerciement ( Gratitude - donner pour recevoir )


mardi 28 avril 2009

Ce mardi 28 avril au jardin

Notre sympathique Raya à subi son baptème du feu, je dois dire qu'elle s'en est admirablement bien tiré, le repiquage des Cosmos et le rempotage des Tomates n'auront bientôt plus aucun secret pour elle
Ensuite ce fut le semis en godet de patissons, potimarons et autres cucurbites, avant de passer au semis de soucis des champsIl ne reste plus qu'à enterrer légèrement les graines, arroser et attendre que cela pousse,


lundi 27 avril 2009

Pourquoi pas un potager sur le balcon ?

En parcourant le Net, toujours à la recherche d'une idée ou astuce, je suis tombé sur cet excellent article de Florence Massin

Un potager sur mon balcon:

"Récolter ses propres légumes, mordre dans une belle tomate juteuse, se préparer une salade fraichement cueillie: c'est possible même en appartement.

Certes, vous ne couvrirez pas les besoins de la famille en cultivant des légumes sur votre balcon ou votre terrasse. Mais vous enrichirez sensiblement vos menus avec les récoltes de votre jardin en pots. Le bonheur est aussi sur le balcon... Voici comment faire.

L'emplacement:
Le premier critère à prendre en compte est l'orientation de votre balcon. En ville, il fait toujours plus chaud qu'à la campagne et les courants d'air sont fréquents. Vos légumes doivent pouvoir y résister. Les légumes aiment les emplacements ensoleillés. Un minimum de quatre heures de soleil (les légumes les moins exigeants sont les laitues, épinards, bettes) est indispensable. Voire de 6 à 8 heures pour les tomates, piments, concombres. Privilégiez les emplacements sud-est et sud-ouest. Méfiance cependant en été. En pleine canicule, rentrez les bacs et arrosez abondamment.

Les légumes :
Le nombre d'espèces et de variétés adaptées à la culture en pot augmente sans cesse.
Quelques conseils cependant:
- N'achetez que des légumes et des herbes que vous avez envie de consommer
- De nombreux légumes se marient à certaines plantes condimentaires. Avec les tomates, pensez au basilic. Associez les concombres à l'aneth, et les haricots à la sariette.
- choisissez de préférence des légumes à croissance rapide et à maturité précoce. Les radis et les salades à couper se récoltent au bout de 3 à 4 semaines, le cresson et les autres graines germées ne demandent que quelques jours.

Les pots :
Installez vos légumes et plantes aromatiques dans des jardinières ou des pots. leur forme importe peu, mais leur dimensions influent sur vos futures récoltes.
- La profondeur sera au minimum de 20 cm. Voyez plus grans pour des légumes comme les carottes ou les tomates. Le diamètre des pots ou la largeur des jardinières sera adapté en fonction du développement des légumes : 15 à 22 cm pour les plantes aromatiques, les radis et les salades. 30 à 35 cm pour les tomates, haricots, courgettes, concombres...
- En termes de matériau, la terre cuite est parfaite. Elle laisse passer l'air et l'eau, et ne se déteriore pas. Seul inconvénient: elle casse sous l'effet du gel. Les pots en plastique sont appréciés pour leur légereté et leur facilité d'entretien. Mais ils chauffent vite au soleil et brûlent les racines. Le bois est esthétique, mais il craint l'humidité. Quant à l'aluminium et au zinc, éliminez les sans concession.

Le terreau :
Les légumes en pots ont besoin d'une terre particulièrement riche en éléments nutritfs. Elle doit à la fois retenir l'eau et la laisser s'écouler, rester souple et aérée. En général, vous trouverez dans de nombreuses jardineries et spécialistes, des "terraux spéciaux pour légumes". Les terreaux en grande surfaces sont en revanche quasiment dépourvus d'engrais. Vous devrez donc apporter ces éléments nutritifs au fur et à mesure des besoins.

L'aménégement :
Si vous ne disposez que de rebords de fenêtre, pensez aux suspensions que vous accrocherez pour y cultiver des plantes aromatiques, des fraisiers, des salades à couper. Renseignez-vous impérativement pour savoir si la balustrade supporte leur poids. Pour gagner de la place, installez vos bacs en escalier, sur des étagères en métal disponible en jardineries ou les magasins de bricolages. Cette disposition a l'avantage de fournir assez de lumière à toutes les plantes. Attention à la charge des aménagements. Un balcon est conçu pour supporter une charge limitée : en général 350 Kg/m2

L'arrosage :
Avant d'envisager votre potager sur un balcon, assurez-vous que le système d'évacuation des eaux de pluie fonctionne bien. Evitez les arrosages trops abondants en périodes tempérées et prévoyez des soucoupes pour récomter l'eau non retenue par la terre. Arrosez régulièrement au printemps et quotidiennement en été. L'arrosage est la partie la plus difficile de la culture en balcon. Tout dépend du contenant, du vent, de la chaleur, de l'ensoleillement. Pour éviter toute erreur, arrosez quand le terreau en surface est sec. Le meilleur moment pour arroser en été est très tôt le matin, ou le soir. L'eau a ainsi le temps d'être absorbée par les plantes. Au printemps et en automne, arrosez plutôt en milieu de journée. Pendant les vacances, placez-les dans l'endroit le moins ensoleillé de votre balcon. Demandez à quelqu'un de venir les arroser ou installez un système d'arrosage automatique. Un conseil: récoltez avant de partir et rentrez les pots dans votre appartement.

La récolte :
Elle a lieu du mois d'avril jusqu'au premiers froids. Les premières récoltes sont celles du cresson, des germes de légumes et de la ciboulette. Un peu plus tard, ce sera le tour des radis, des salades à couper et des épinards. A partir du mois de juin, la palette de légumes s'étend considérablement. Les rendements des cultures en pots étant relativement modestes, il est important de récolter au bon moment. Cela vous garantira des légumes d'excellente qualité, riches en vitamines.

Les insectes :
Pour chasser les moustiques et les parasites de vos légumes de façon biologique, associez-les à des géraniums à feuillage odorant ou à des capucines qui attireront les pucerons. vous pouvez utiliser des produits chimiques. Quel que soit le produit, ne le vaporisez pas en plein soleil, par forte chaleur ou grand vent, ni lorsqu'il pleut.

Que dit la loi ?
Certaines règles doivent être respectées pour ne pas gêner, mettre en danger les autres habitants de l'immeuble ou les passants sur l'espace public. En cas de dommage (une chute d'objet ou un ruissellement d'eau), votre responsabilité est engagée. Votre potager ne doit pas non plus nuire à l'esthétique du quartier. N'hésitez pas à consulter le règlement de votre copropriété. Il précise en détail ce qui peut être envisager ou pas, jusque dans le choix des différents végétaux.

Quelques conseils :
- Installez 6 à 8 plants de salade, selon l'espèce, dans un bac de 80 cm de long.
- Semez ou repiquez les radis plutôt au bord du pot, espacés de 6 cm.
- Ne placez pas plus de 4 pieds de tomates naines ou de poivrons dans un bac de 80 cm de long.
- Plantez les tomates à tuteurer, les concombres et les aubergines dans des pots individuels.

Bonnes récoltes :


samedi 25 avril 2009

La Bourrache

La bourrache est en bleu, à côté des harricots d'Espagne, excellent pour le chili, nous comptons bien en remettre cette année.

Origine du nom :

Borrago officinalis. Le nom vient des mots arabes abu rach, signifiant « père de la sueur » et qui font allusion aux propriétés sudorifiques de la plante.

Description :

De la famille des Borraginées, la bourrache peut atteindre 60 cm. Une plante sauvage de la même famille, la vipérine, se prête aux mêmes usages que la bourrache. L’odeur de la plante est presque nulle. Toutefois, son goût rappelle celui du concombre avec une pointe de fétidité.

Culture :

Semis : En pleine terre, en avril-mai. La semence prend de 10 à 12 jours à germer. La plante se ressème souvent d’elle-même.

Sol : Sablonneux, léger.

Expo : Plein soleil.

Distance entre plants : 30 cm (quelques plants suffisent généralement).

Soins : Sarclages au début et arrosage en cas de sécheresse. La plante prend vite possession du sol.

Récolte et conservation : Feuilles et fleurs se récoltent au besoin. La plante se conserve mal sauf dans le vinaigre que les fleurs colorent en bleu.

Usages divers :

En cuisine, les feuilles de bourrache hachées sont employées surtout en salades. On peut aussi en faire un thé glacé très rafraîchissant aux heures chaudes de l’été. Les feuilles peuvent aussi se manger cuites comme les épinards ou farcies comme les feuilles de vigne. En infusion, à raison d’1 C à S de fleurs dans 1 tasse d’eau (infuser 10 minutes), la plante a des vertus dépuratives et diurétiques.

Un exemple de salade de bourrache, les fleurs seules peuvent également décorer pas mal de plats de crudité

Basilic


Origine du nom :

Ocymum basilicum. Le nom provient du grec basiliko qui signifiait « royal ». en effet, c’est le roi Alexandre le Grand qui, dit-on, ramena la plante de Perse en Occident.

Description :

Labiée annuelle à feuilles d’un beau vert brillant et à fleurs blanches ou rosées, le basilic forme un petit buisson qui peut atteindre 40 cm de hauteur. On en connait plusieurs variétés : à grandes feuilles, à petites feuilles (plus parfumé), etc. L’odeur de la plante est à la fois anisé et giroflée, pénétrante et très agréable.

Culture :

Semis : Semis intérieur en mars – avril. Transplanter en mai quand tout danger de gelée est passé. La tomate est une bonne plante-compagne du basilic

Sol : Léger, humide mais bien drainé.

Expo : Soleil ou partiellement ensoleillé (pour retarder la floraison).

Distance entre plants : 25 cm (une douzaine de plants peuvent suffire)

Soins : Sarclage au début, arrosages copieux par temps sec. Tailler les plants pour les empêcher de fleurir. Ne jamais toucher aux plants par temps humide car cela peut provoquer la rouille des feuilles.

Récolte et conservation : Récolter les feuilles au besoin puis quand la floraison ne peut plus être arrêtée, cueillir les plants et les sécher en petits bouquets, la tête en bas, dans un lieu sec et bien ventilé. Conserver les feuilles séchées entières (broyées, elles perdent vite leur parfum délicat). Les feuilles peuvent aussi être conservées congelées (après blanchiment de quelques secondes) ou dans le vinaigre ou l’huile d’olive.

Pour la culture intérieure, on recommande le basilic à petites feuilles. On doit à tout prix empêcher la plante de fleurir car elle meurt dès qu’elle à donné ses graines. Le sol doit être riche, bien drainé et doit sécher entre les arrosages. Garder la plante au soleil, dans une pièce assez fraîche. Une taille fréquente fait ramifier le plant à la base et, ainsi, le renforce.

Usages divers :

En cuisine, le basilic s’emploie dans les salades, avec les tomates, aubergines et poivrons, les champignons sauvages, les poissons cuits au court-bouillon, les œufs brouillés et le veau. Toutefois, le basilic dont l’essence est très volatile, ne doit jamais être mijoté mais ajouté aux plats seulement en fin de cuisson.

Médicalement, le basilic a des vertus toniques, stomachiques et antispasmodiques. L’essence de basilic, d’un prix assez élevé, s’emploie à raison de 2 à 5 gouttes sur un morceau de sucre, 3 fois par jour. Cette essence est aussi efficace contre les piqûres d’insectes (guêpes, etc.).

Un peu d'exotisme

Un ami m'a rapporté d'un voyage en Turquie quelques graines de coton,
elles ont été semées hier, je n'ai aucune idée de la manière de cultiver cette plante, (on va avancer au filling) ni si cette culture est possible sous notre climat, mais mon petit côté expérimentateur me disait qu'il fallait essayer.
De toute manière, nous n'avons rien à perdre, même s'il n'arrive pas à maturité, l'expérience ne saurait être qu'enrichissante
Si parmis nos lecteurs, quelqu'un à déjà essayer, les conseils et astuces sont les bienvenus
Roger, si tu veux essayer, il me reste quelques graines et je te les enverais avec plaisir

vendredi 24 avril 2009

Actualités du Jardin


Le beau temps de ces derniers jours a permis un avencement spectaculaire des travaux, les semis se poursuivent, le repiquage des Agératums est terminé, dans deux semaines la mise en pot, et dans un mois les parterres
En arrière plan, la structure de la tonelle qui va devenir la future serre

Josiane et Nelly se concertes sur la précision du repiquage, pas facile lorsque c'est la première fois.


Les Lobélias sont également repiqués, deux caissettes vont également attendre la mise en pot, ou le repiquage en couche (selon place disponible) avant de venir garnir les jardinières et les parterres
La structure de la nouvelle serre est en place, une ancienne tonnelle de 6 X 3m
reconditionnée (photo prochainement)

Nous avons également semé les Kochias, trois variétés de Zinias, (fleur de dahlias, cactus et une variété de fleurs bicolores)

Demain, mise en pot des dernières tomates et sortie des Tournesol et ricins sous tunel.

dimanche 19 avril 2009

Boutures de Lavande

Ma plante de Lavande à été plus que négligée ces deux dernières années, pas de taille, un changement de place à la vas vite l'année dernière, résultat une plante disparate, un peu dégarnie au pied
Voulant en mettre à différents endroits du jardin j'ai risqué quelques boutures (à l'étouffée), la technique est très simple:
On prélève quelques bouts de tige, effeuille le bas
les trois boutures de gauche sont prêtes à etre plantées dans une terre humide et recouverte d'une bouteille plastique coupée au 2/3 inférieur et enfoncées de quelques cm en terre.
L'arrosage se fera si nécessaire autour des bouteilles, qui resteront en place et bouchées j'usqu'à reprise des boutures
Par la même occasion, j'ai risqué une marcotte avec une pousse latérale
Le crochet, (petit piquet de tente recyclé) sert à maintenir la branche
Il n'y a plus qu'à recouvrir de terre et attendre en sirotant (avec modération un bon petit pastis) (merci Roger de m'avoir passé le virus)

vendredi 17 avril 2009

L'Anis

Origine du nom :

Pimpinella anisum. Le nom provient du grec anison, « faire jaillir » par allusion aux propriétés carminatives de la plante.

Description :

De la famille des Ombellifères, l’anis, cultivé uniquement pour ses semences, est une annuelle au feuillage vert pâle, aux fleurs blanches en ombelles et dont la taille peut atteindre 50 cm.
L’odeur de la plante est « anisée », douce et parfumée.
La saveur est chaude et piquante.

Culture :

Semis : En pleine terre, en mai. De germination longue, la plante n’a pas toujours le temps de venir à maturité. De plus, comme les plantes ont un pouvoir germinatif faible, il faut les semer serré.
Sol : Riche et léger.
Expo : Plein soleil.
Distance entre plants : 20 cm (quelques plants suffisent pour une consommation domestique)
Soins : Sarclages au début, arrosages en cas de sécheresse.
Récolte et conservation : Récolter les feuilles au besoin, les semences à maturité.

Usages divers :

En cuisine, l’anis entre dans la confection du pastis et diverses autres liqueurs, de biscuits, de pains d’épices, de gâteaux, de dragées, etc…
En mélange avec le gingembre et la cannelle, il parfume divinement la tarte au pommes (ou la compote). Les feuilles aromatisent bien les salades et les soupes de poissons.
En infusion, à raison d’1 c. à thé dans 1 tasse d’eau, les semences sont toniques pour le système nerveux et pour l’appareil digestif. L’essence s’emploie à raison de 2 à 10 gouttes dans 1 tasse d’eau ou sur un morceau de sucre.


L'anis étoilé, permet de réalise de délicieuses décoctions anisées, bien sûr, cela ne remplace pas le pastis

L'Aneth

Origine du nom :
Anethum graveolens. Le nom français provient du grec ânethon, « fenouil »

Description :
De la famille des ombellifères, l’aneth est une annuelle aux feuilles très découpées et à ombelles à fleurs jaunâtres qui peut atteindre 60 à 80 cm de hauteur.
L’odeur de la plante est anisé, un peu menthée et très légèrement fétide ;

Culture :
Semis : En pleine terre, en avril – mai ou mieux, les semences gardant leur pouvoir germinatif peu de temps, en automne. La plante se ressème souvent d’elle-même.
Sol : Riche et meuble.
Expo : Plein soleil.
Distance entre plants : 20 cm environ (quelques plants suffisent)
Soins : Sarclages au début seulement car la plante, étant de croissance rapide, prend vite possession de son espace.
Récolte et conservation : Récolter les feuilles au besoin
Pour les semences, quand elles mûrissent on coupe les tiges porteuses, on les attache la tête en bas puis, quand elles sont bien séchées, on le bat au dessus d’un drap tendu. Il faut s’assurer que les semences soient bien sèche avant de les empoter.

Usages divers :
En cuisine : les feuilles et les semences s’emploient pour aromatiser les salades, divers poissons (écrevisses et saumon surtout) et diverses marinades. On peut aussi en parfumer le pain.

En infusion : à raison de 5 à 10 g de semences dans 1 litre d’eau bouillante, l’aneth est excellente contre les digestions difficiles et le hoquet

jeudi 16 avril 2009

Eh oui Roger, cela existe encore


Voici mon lieu de travail, une bonne vieille cabine type Siemens construite un peu après la guerre, les leviers cela change des cabines "presse bouton"
Et puis, les leviers c'est le body building au boulot, on entretient la forme

mercredi 15 avril 2009

Un visiteur inatendu

Une famille de renard à élé domicile au jardin, celui-ci pas farouche du tout surveille l'avancement des travaux

Plantes condimentaire


L’ail Nous allons passer en revue les principales herbes et condiments, une vingtaine de fiches sont prévues, certaine se retrouveront dans d'autres rubriques à venir, mais seront alors étudiées sous un autre angle, par ex: leur aspect médicinal sera plus développé etc...

L'ail

Origine du nom :

Aillum sativum. Le nom français provient du latin allium, lui-même issus du mot celte allé, « brûlant »

Description :

Liliacée cultivée comme annuelle, l’ail peut atteindre 30 cm de hauteur. On en connaît plusieurs variétés mais les plus cultivées sont le blanc et le rosé (plus petit mais de conservation plus longue).

Quoique d’un goût plus délicat, l’ail des bois se prête aux mêmes utilisations que l’ail cultivé. L’ail chinois est cultivé pour ses tiges.

Culture :

Semis : Planter les gousses (les plus grosses seulement) en pleine terre, fin – avril. Couvrir de 3 – 4 cm de terre. L’ail protège les rosiers contre les insectes mais inhibe la croissance des haricots et des pois.

Sol : Bien drainé, très riche en vieux fumier.

Expo : Plein soleil .

Distance entre les rangs : 40 – 50 cm. Plants : 10 – 12 cm.

Soins : Sarclage fréquents. Ne jamais renchausser les plants, ce qui peut retarder leur maturation.

Récolte et conservation : Quand les têtes à gousses (appelées aussi caïeux) sont bien formées et que les tiges ont commencé à faner, arracher l’ail et le laisser sécher au soleil quelques jours. On en fait ensuite des chapelets en tressant les tiges dont on attache l’extrémité avec une corde solide. Suspendus dans un lieu frais mais bien aéré, ces chapelets peuvent se conserver tout l’hiver jusqu’à la prochaine plantation.

Toutefois, il faut renouveler les gousses à planter tous les 2 – 3 ans car les têtes ont tendance à devenir de plus en plus petites.

Les petits caïeux qui restent peuvent être conservés dans l’huile d’olive, au froid. On peut aussi s’en servir dans diverses recettes.

Usage divers :

Médicinalement, l’ail – qui s’emploie alors cru – a de multiples vertus et c’est un élément essentiel de toute bonne médecine préventive. Employé aujourd’hui encore contre le cancer et l’hypertension, il a des qualités tonifiantes et antiseptiques indéniables.

Toutefois, il est à proscrire aux jeunes enfants et aux gens souffrant de problèmes digestif ou de dermatoses.

A l’extérieur, l’ail broyé est souverain contre les brûlures, les piqûres d’insectes, les verrues et les cors.



lundi 13 avril 2009

La Loi du Minimum

Avant de vous parler d'une manière plus approfondie des engrais et des amendements, il est une notion très importante qui est trop souvent négligée, la "Loi du minimum" , en effet, la plupart des engrais portent sur l'embalage trois chiffres par exemple 6 - 5 - 8, ces chiffres donnent le pourcentage de trois matières actives contenues dans l'engrais.
Ils indiquent toujours dans l'ordre la valeur N P K c'est à dire l'azote, généralement sous forme nitrée, le phosphore sous forme d'acide phosphorique et la potasse.
Le notion de loi du minimum est importante à connaître.
En effet vous pouvez très bien apporter des éléments fertilisants en quantité importante à vos plantes.
Ils ne seront assimilés qu'à concurrence de l'élément le plus faible.
Le reste dans le meilleur des cas sera fixé par le sol et servira de réserve où sera perdu par lessivage.
Enfin, certains excès peuvent provoquer des phénomènes de blocage, aucun échange ne sera possible entre le sol et la plante.
Un excès de sels minéraux peut également être à l'origine de brûlures au niveau des racines.
Et enfin, dans les cas extrêmes, selon le principe de l'osmose, (les solutions les moins concentrées se dirigeant vers les solutions les plus concentrées) vous risquez de voir vos plantes faner puis mourir, vidées de toute leur substance.

samedi 11 avril 2009

on grandit toujours

On ne cesse de grandir, avec les deux carrés ajouté ce jour, cela porte à 10 le nombre de parcelles disponibles
Demain, remplissage de terre + terreau
Mardi prochain, repiquage des tagettes et cosmos dans un des carrés, (il faut faire de la place dans la serre)

repiquage également de quelques fraisiers quatre saisons, il est grand temps, les fleurs se pointent déjà (vivement la confiture)

Seconde vie pour une gloriette


J'ai récupéré aux encombrants une superbe gloriette, bien sûr il manque la toile et les boulons étaient absents:
pour quelques euro de boulonnerie la voici reconstituée, elle va servir de support pour plantes grimpantes
Je compte l'équiper d'un treillis et semer au pied de 5 de ses côtés un mélange de fleurs "envahissantes" cela pourrait être du plus bel effet:
Je vous tiens au courant

vendredi 10 avril 2009

Compote de navets

Compote de navets

Compote de navets


Plus condiment que dessert, cette confiture est excellente avec les viandes de porcs et les gibiers.


« prendrez environ la Toussains des gros navetz et les pelez, et fendez en quartiers et puis mectez cuire en eaue.

Et quand ils feront ung petit cuiz, si les osteez et mectez en eaue froide pour attendrir. Et puis les mectez égouter et prenez du miel et fondezainsi comme celluy des nois. Et gardez que vous ne cuisiez trop vos navetz.

(Le Mésnagier de Paris)


Il faut pour un pot :

1 verre de sucre

½ verre de miel

4 à 5 navets


Epluchez les navets et coupez-les en dés.

Faites-les cuire « al dente » 15 minutes dans l’eau bouillante et égouttez.

Dans une petite cocotte faites fondre le miel, ajoutez le sucre, chauffez quelques minutes puis ajoutez les dés de navets.

Faites cuire en remuant une vingtaine de minutes avant de mettre en pots.

dimanche 5 avril 2009

La frisée aux lardons


Non non, ce n'est pas ma voisinne, mais une délicieuse recette que je vous recommande chaudement:

Ingrédients:
1 salade frisée
100 g ou plus de lardons fumés (je ne descend jamais en dessous de 250g)
1 oeuf
vinaigrette
Préparation:
Préparer les feuilles de salade frisée en les coupant en plusieurs morceauc
Les laver à l'eau froide
Essorer et placer les feuilles dans un saladier
Faire cuire un oeuf dur
Ajouter la vinaigrette

Cuisson:
Dans une petite poêle faire revenir les lardons à feu vif en les tournants de chaque côtés.
Lorsqu'ils sont cuites, remuer la salade avec la sauce vinaigrette, puis ajouter par dessus les lardons (sans la graisse)
Raper ensuite l'oeuf dur dans le saladier et servir en partageant lardons et oeufs

Accompagnée de pommes de terre sautées et saucisse de campagne grillées...
Un vrai régal.

La mâche



Voici la mâche, ici nous l'appelons aussi "doucette", je ne sais si en France elle porte ce nom aussi, Roger pourrait nous éclairer là dessus?

Ceci est un essais en serre, qui sera repiqué dans quelques jours, à travers un film plastic noir, un peu comme pour les fraisiers (mauvaises herbes)

La variété semée ici est la "Gala", insensible à la durée des jours, ce qui permet de la semer à peu près toute l'année

Fin juin, nous sèmeront la "coquille de Louvier, variété réputée très goûteuse,
je sens déjà le parfum des petits lardons, du déglaçage au vinaigre...
Au fait, je ne vous ai jamais dit que je creusait ma tombe avec mes dents?

C'a bouge dans la serre

Voici les premières photos des courgettes

Le miracle de la nature et de la macro,
Les premiers lobélias Crystal Palace, sortis depuis hier et les bébés agératums

Dans quelques jours, il va faloir montrer une sacrée patience pour le premier repiquage

Bacs à semis gratos

Enormément de produits sont vendus dans des conditionnements qui peuvent intéresser les jardiniers au plus haut point

Voici quelques exemples de bacs à semis miniatures très intéressants notamment pour la cressonnette, un de mes péchés mignon

Délicieuse avec le fromage blanc (appelée maquée) chez nous, mais je suis certain que le même produit existe en France et au Canada sous d'autres noms, je ne parle pas de ces produits commerciaux sans gouts, mais du véritable produit de laiterie, avec ses morceaux de beurre ou ses herbes incluses

Bref, ces petits contenants vous permettent de semer régulièrement, (une fois ou deux par semaine selon vos besoins) de petites quantités de cerssonnette par exemple, afin d'en avoir toujours sous la main.

Aujourd'hui c'est la boite à fromage qui s'y colle

Rendez-vous dans quelques jours pour voir pousser la foret de cresson

Merci à Roger pour le lien vers mon blog, me voici désormais connu dans le plus beau pays du monde (après la Belgique bien-sûr)

samedi 4 avril 2009

On s'agrandit un peu!

Deux nouvelles recrues viennent de nous rejoindre, donc quatre nouveaux carrés vont devoir cohabiter avec ceux déjà en place

Quelques heures de travail et le carré prendra sa place parmis ses petits frères, à droite vous appercevez le poele à pétrole qui me permet d'avoir environ 20 degrés la nuit dans la serre, au fond, Caramelle qui viens inspecter le travail

vendredi 3 avril 2009

L'aménagement se poursuit

Le site se développe à pas de géant



Le beau temps de ces derniers jours m'a permis de poursuivre l'aménagement du jardin,
A droite, quelques tonneaux pour l'arrosage, juste à côté de la parcelle des petits pois.
A l'avant plan, une petite couche démontable trouvée chez Lidl, pratique, modulable, assez solide, seul reproche, la hauteur, 5 à 10 cm de plus aurait été parfait



Petit exemple d'optimisation de la place dans un carré, au fond à droit, quatre salades rouges d'amérique; sur le côté gauche quelques céleris, entre les deux lignes de céleri, j'ai semé une ligne de radis qui seront récoltés avant que les céléris n'aient atteints leur complet développement, à l'avant plan à droite un petit carré de carottes.




Le technique du plessis





Réaliser un plessis:
La première chose est d'avoir des branches comme matière première
Si vous avez des arbres dans votre jardin, vous devez les tailler en "tétard" ou "trogne", la plupard des arbres le permet, chez moi, j'ai quelques frênes qui ont poussés spontanément et que je taille tous les deux ans, ce qui me donne des baguettes pas trop grosses.
On peut réaliser des bordures en chataigner ou en acacia, deux bois très riches en tanins et pratiquement imputrescibles.
Le noisetier et le saule, plus facile à tresser mais seront plus vite détruits.

Planter des piquets (issus des plus grosses branches) de la hauteur voulue, tous les 20 à 40 cm avec un marteau. Plus les tiges à tresser sont fines, plus il faur rapprocher les piquets. Ensuite tresser, une maille à l'endroit, une maille à l'envers, en commençant par l'intérieur pour ne pas avoir de tiges qui dépassent (enfin, souvent, on fait comme on peut, avec les branches que l'on a.)

Vous n'êtes limité que par votre imagination en ce qui concerne l'utilisation du plessis, bordures, clôtures, et même, pourquoi pas, petit mobilier de jardin, en voici un exemple glané sur le net

mercredi 1 avril 2009

Explication de la photo 1939


Vous l'avez compris, il s'agit d'un ancien terrain d'horticulteur, les couches ont disparu, les serres en ruine ont été démontées, la vielle Ford T de mon grand père (à gauche sur la photo) à été vendue à un collectionneur dans les années 60.
Au centre, un ouvrier et à droite, mon papa en uniforme, classe 39, ce qui m'a permis de dater le cliché.
Après avoir usé mes fonds de culottes sur les bancs de l'école d'horticulture de Liège, avoir travailler comme jardinier à la ville, je suis entré au chemins de fer où tout doucement je vois approcher l'heure de la retraite