mardi 30 juin 2015

Identifier les carences au potager


Principales carences et leurs effets sur le feuillage

Les carences sont un problème que tout potagiste ou jardinier amateur est susceptible de rencontrer un jour ou l'autre, certaines sont faciles à reconnaître, d'autres moins.
Je vous invite à visiter l'excellent cite de Gerbeaud.com afin de vous aider à diagnostiquer d'éventuels problèmes.
Les carences peuvent également survenir en voulant trop bien faire (paillage pouvant provoquer une "faim d'azote", engrais mal adapté, Ph trop acide ou basique empêchant la plante d'assimiler tel ou tel oligo-élément etc.....)
Reconnaître une carence est bien, en déterminer la cause est mieux:

 Identifier les carences

Renoncules: (Langage des fleurs)

Avec malice
Source photo Internet
Jardinerie Willemse France
 
Les renoncules sont des plantes herbacées, annuelles ou vivaces, à feuilles entières ou multifides, la plupart radicales. 
Les fleurs, jaunes ou blanches, rarement pourpres, sont pentamères; les ovaires sont libres à une seule loge uniovulée.
Le fruit se compose de nombreux akènes nonospermes.
On en connaît environ cent cinquante espèces répandues surtout dans les contrées tempérées et froides.
La renoncule bulbeuse ou bassinet, grenouillette, pied de coq, pied de corbin, à fleurs jaune luisant, croît en touffes épaisses dans les prés, les lieux incultes; 
La renoncule scélérate ou grenouillette d'eau, mort aux vaches, croît dans les lieux humides, marécageux;
La renoncule âcre, bassinet, bassin d'or, bouton d'or, clair bassin, est une plante vivace remarquable par ses fleurs d'un jaune éclatant.
Les renoncules sont narcotiques à petite dose, mais peuvent être vénéneuses.
La plus belle et la plus intéressante est la renoncule d'Asie, apportée, dit-on, d'Orient en Hollande par les croisés.
Le type sauvage à fleurs simples varie du jaune au blanc et du rose au rouge sang.
Depuis longtemps, les horticulteurs et les amateurs en ont obtenu des formes doubles d'une grande beauté et de teinte très diverses.
Ces plantes sont vivaces, à souche tubéreuse, appelée griffe

Petit clin d'oeil

A méditer

Des salades qui n'ont jamais vu la terre



Regardez la vidéo
 Dans une usine de salades vertes........
 Ahurissant !!!!
 On comprend maintenant pourquoi les salades sont à longueur d'année sur
les étals!!!

 Cela vaut vraiment le coup d'être vu.
 Vidéo très intéressante d'un point de vue documentaire.
 Après le visionnage de cette vidéo, vous ne croquerez plus votre salade  de
la même manière……..

 Aussi pourquoi elles ont un goût de FLOTTE ..
 Cliquez ci-dessous :
 https://docs.google.com/file/d/0B6BeaTgFcjIGZDUzWTBROEhreG8/edit?usp=drive_web&pli=1

Même les fraises:
 Merci Anne pour ce lien que je partage volontiers......... Bon appétit !

lundi 29 juin 2015

Réséda (Langage des fleurs)

Vos qualités sont l'égale de votre charme
Les résédas sont des plantes herbacées, à feuilles alternes, pennatifides et découpées.
Les fleurs, blanchâtres ou jaunâtres, sont groupées en panicule terminale; elles présentent un calice de 4, 7, ou 8 sépales inégaux persistants, une corole à sépales inégaux et de même nombre que les pétales.
On en connait trente espèces du bassin Méditerranéen et d'Europe.
Le réséda odorant, mignonnette ou Herbe d'amour, à fleurs vert blanchâtre, très odorante, annuel et parfois vivace, est cultivé dans les jardins.
Le réséda des teinturiers ou herbe aux juifs est surtout connu sous le nom de gaude.

 Le réséda était jadis cultivé par nos grands-mères pour son parfum exquis, léger et sucré. On l'a malheureusement délaissé car sa floraison vert pâle attire les abeilles et non l'oeil de nos contemporains. Redécouvrez-le et réservez-lui une place près de la maison pour profiter au maximum de ce parfum délicat. Port étalé, floraison prolongée de juin à août. Pour massif, bordure et potée. Hauteur :20 cm. (Semailles)


La Rose et le réséda

Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Tous deux adoraient la belle
Prisonnière des soldats
Lequel montait à l'échelle
Et lequel guettait en bas
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Qu'importe comment s'appelle
Cette clarté sur leur pas
Que l'un fut de la chapelle
Et l'autre s'y dérobât
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Tous les deux étaient fidèles
Des lèvres du coeur des bras
Et tous les deux disaient qu'elle
Vive et qui vivra verra
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Quand les blés sont sous la grêle
Fou qui fait le délicat
Fou qui songe à ses querelles
Au coeur du commun combat
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Du haut de la citadelle
La sentinelle tira
Par deux fois et l'un chancelle
L'autre tombe qui mourra
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Ils sont en prison Lequel
A le plus triste grabat
Lequel plus que l'autre gèle
Lequel préfère les rats
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Un rebelle est un rebelle
Deux sanglots font un seul glas
Et quand vient l'aube cruelle
Passent de vie à trépas
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Répétant le nom de celle
Qu'aucun des deux ne trompa
Et leur sang rouge ruisselle
Même couleur même éclat
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
Il coule il coule il se mêle
À la terre qu'il aima
Pour qu'à la saison nouvelle
Mûrisse un raisin muscat
Celui qui croyait au ciel
Celui qui n'y croyait pas
L'un court et l'autre a des ailes
De Bretagne ou du Jura
Et framboise ou mirabelle
Le grillon rechantera
Dites flûte ou violoncelle
Le double amour qui brûla
L'alouette et l'hirondelle
La rose et le réséda 
Poème de L. Aragon 

Ce poème est dédié à 4 grands Résistants de droite et de gauche, fusillés par les Allemands :
  • Gabriel Péri : homme politique et journaliste français, membre du Parti communiste, fusillé en 1941
  • Honoré d'Estienne d'Orves : officier de marine français, rallié au Général de Gaulle en 1940, fusillé en 1941
  • Guy Moquet, fils d'un député communiste, fusillé comme otage en 1941, à l'âge de 17 ans
  • Gilbert Dru : il organisa la Résistance dans les milieux de la Jeunesse Chrétienne, fusillé à Lyon en 1944, à l'âge de 24 ans


Que se cache-t-il dans nos assiètes? Les faux semblants de l'industrie agro alimentaire.

Voici un relais d'un article du Vif l'Expres qui devrait porter à réfléchir, au royaume de la malbouffe tout ou presque est permis.
Mon but n'est pas de vous dégouter de la nourriture industrielle (de toute façon il n'est pas possible d'y échapper) mais on peut aisément limiter les dégâts en se rapprochant au maximum des matières  premières et prendre le temps de cuisiner

Que se cache-t-il dans votre assiette? Les faux-semblants de l'industrie agro-alimentaire

Le Vif Weekend
30/07/13 à 12:08 - Mise à jour à 12:08
Source : Weekend
L'industrie agro-alimentaire, qui doit concilier bénéfices et exigence de prix bas de la part des consommateurs, use d'une multitude d'artifices dans ses aliments préparés. Le tout le plus légalement du monde ! Mais à quel prix pour la qualité qu'elle nous promet ?
Face à des produits préparés, il est difficile de résister aux photos alléchantes sur les emballages. On se surprend donc à se laisser convaincre de les acheter. Et si ce qu'on nous y vendait n'était pas ce que l'on croyait ? On ne parle pas de viande de cheval vendue comme viande de boeuf, non ! Mais d'exagérations, le tout le plus légalement du monde !
La liste qui suit n'est pas exhaustive, mais elle nous apprend une chose : pour ceux qui ne veulent pas se laisser berner par des ingrédients sains, mais en quantités minimes, ni par des faux-semblants, préférez la cuisine maison, avec des aliments de base choisis en toute connaissance de cause... ou presque...
Faux fromage
Elle vous fait saliver, cette photo de morceau de pizza alléchante, relié au reste de la pizza par des fils de fromage fondu... Retombez sur terre ! Ce bon fromage pourrait ne pas contenir un seul gramme de lait. Cargill, grand fabricant américain d'ingrédients pour l'industrie agro-alimentaire, a créé deux variantes de fromage analogue : l'une composée à 15 % de protéines laitières, d'huile de palme (dont on connaît les méfaits sur la santé et l'environnement) et de quelques exhausteurs de goût ; l'autre, appelée "lygomme" composée de trois sortes d'amidons, de galactomannane et de carraghénane (deux gélifiants) et d'arômes. Dans ce dernier cas, pas la moindre trace de lait... mais toute l'apparence du fromage ! Ces préparations fromagères analogues sont présentes aussi dans d'autres plats préparés, comme des lasagnes, des hamburgers et autres plats censés contenir du fromage. La Communauté européenne a autorisé ce fromage analogue à condition que sa présence soit précisée dans la liste d'ingrédients. Mais bien malin celui qui saura ce que sont les galactomannane et carraghénane ! La lecture des ingrédients sur l'emballage nous en dira donc long...
Notons qu'actuellement, la Belgique semble épargnée, mais jusqu'à quand ? Et peut-on se fier aux aliments non soumis à l'étiquetage comme ceux vendus dans des restaurants de type fast-food ?
Un peu de viande bien assaisonnée ?
Vous préparez un petit plat, avec légumes, viande... et souhaitez y incorporer un petit goût complémentaire ? Comme ce délicieux bouillon de viande, dont l'emballage nous montre une magnifique pièce de viande bien cuite ; ou le cube de bouillon de légumes, condensé de carottes, persil, oignons, tomates, brocoli, courgettes... Que nenni ! En fait, il s'agit essentiellement de... sel ! Sur l'emballage de l'une des marques examinées, il est précisé "plus de 37 % de sel de mer" ; autrement dit, à éviter pour préserver notre santé ! Dans le bouillon de poule, on trouve 2 % de graisse de poule et 0,2 % de viande de poule ; dans celui de viande, tout au plus 3 % d'extrait de viande ; et dans celui de légumes, qui bat le record : 4,7 % de légumes !
Juste la saveur...
Envie d'un magnifique rôti de veau ? Il semble tellement bon, il ne peut pas être suspect... Et pourtant ! Ne serait-il pas le résultat d'un traitement à la transglutaminase, ce que l'on appelle couramment de la "colle à viande" ou Activa ? Cette enzyme est utilisée par l'industrie agro-alimentaire pour lier les protéines dans des aliments qui en sont riches, comme de la viande, ou du jambon, histoire de lier quelques déchets de bons morceaux de viande pour en faire... un rôti par exemple, ou un bon jambon ! Ne vous étonnez donc plus si, au moment de la découpe, vous ne trouviez plus le sens des fibres ! Sachez cependant que l'utilisation de cette enzyme peut aussi améliorer la texture de viandes molles ou exsudatives. Quant aux viandes pâlottes, elles peuvent aussi recevoir des nitrates et nitrites pour être recolorées, histoire de leur redonner une certaine virginité aux yeux du consommateur... Bien qu'autorisés, à quantités limitées, ces nitrites et nitrates sont cependant accusés de favoriser certains cancers, dont celui de l'estomac. Vous voulez reconnaître les produits qui en contiennent beaucoup ? Regardez si les viandes (surtout les jambons !) contiennent beaucoup d'eau...
La colle à viande est aussi utilisée dans certains laits ou yaourts, des croquettes de poisson ou encore... les fameux surimis, imitation de chair de crabe.
Céréales régime...
Vous avez décidé de perdre du poids et pour vous y aider, de manger des céréales, pour les fibres et toutes les bonnes choses qu'elles contiennent. Quel paquet choisiriez-vous : la gamme "spécial régime" ou les céréales pour enfants ? A priori, les premières seront plus adaptées avec un nom pareil et une jolie silhouette mince sur le paquet. Et bien détrompez-vous : elles seront équivalentes ! Ces deux types de céréales tournent autour des 370 kcal/100 g (363 pour la marque "régime", 382 pour celles destinées aux enfants), avec respectivement 8 et 6 g de protéines, 80 et 84 g de glucides et 1.3 et 1.5 g de lipides... La grande différence entre les deux est dans le type de glucides : dans les céréales pour enfants, on compte 43g de sucre, contre 17g dans la marque "régime". Mais n'allez pas chercher les céréales de régime avec du chocolat blanc par exemple : elles sont plus riches en calories que les céréales pour enfants, avec 399 kcal aux 100g, contiennent plus de lipides, avec 6.2 g, dont 3.4g de graisses saturées, bien que plus faibles en sucres, mais dépassant les 23g. La version aux amandes atteint les 28g de sucre, et celle aux fruits dépasse 35 g de sucre, dont 9g de fructose...
Là où une différence importante se marque, c'est dans l'indice glycémique des différents types de céréales : les céréales de régime sont en effet plus riches en amidon et en fibres. Résultat : le taux de sucre dans le sang montera moins qu'avec une céréale plus sucrée, et l'hypoglycémie une heure après les avoir mangées sera moindre. Donc pas de fringale rapide. Néanmoins, il faut tout de même insister : ces céréales doivent s'inscrire dans un petit-déjeuner plus complet, avec du pain et une viande maigre (jambon), ou un peu de confiture, un fruit et de l'eau... Mais qui le fait ?
Une soupe vite fait ?
Pour avoir son compte de 5 fruits et légumes par semaine, il y a une aide facile : la soupe ! Oui, mais pas n'importe laquelle ! L'idéal est de la préparer soi-même : on sait ce qu'il y a dedans. Mais si vous manquez de temps (ou de courage !) pour la préparer, ne croyez surtout pas qu'un sachet de soupe à diluer dans l'eau bouillante fera l'affaire ! Prenons le site d'une grande marque de soupe déshydratée, et choisissons leur variété au cerfeuil, à tout hasard, et lisons les ingrédients, en sachant que la loi les oblige à commencer par les ingrédients présents en plus grande quantité, pour aller vers les plus "rares". Et on lit : "Amidon de maïs modifié, graisse végétale, sel, farine de froment, pomme de terre, exhausteur de goût (E621), cerfeuil (3,2 %), poireau, oignon, épinards (1,1 %), etc." Autrement dit, ma bonne soupe ne contient en réalité que quelque 4.3 % de légumes ! Ne soyons pas obtus et allons vers leur soupe de poireaux... 3,2 % de poireaux ! Par contre, dans tous les modèles, le sel figure en haut de l'affiche. Et c'est bien ce qu'on leur reproche : d'être pauvres en légumes et riches en sel...
Surimi
Et bien voilà encore un de ces aliments présentés pour ce qu'ils ne sont pas ! Dans le surimi que nous trouvons dans nos supermarchés, pas un gramme de crabe, malgré la belle bête que certains fabricants osent encore exhiber sur l'emballage, avec tout de même la mention subtile : "Saveur crabe" ! Qui a dit qu'il contenait du crabe ? Personne ! Comment est-il produit ? Selon Wikipédia, il s'agit de filets de poissons étêtés et vidés, mixés, lavés à l'eau douce, et dont on a éliminé les protéines solubles (enzymes), le sang, le gras, les tissus conjonctifs. On obtient ainsi une pâte blanche sans goût, riche en protéines et pauvre en lipides, à laquelle on ajoute des cryoprotectants pour améliorer la résistance des protéines au froid : polyphosphates, sucre, sorbitol. Enfin, on ajoute des additifs tels que fécule (de pomme de terre ou de blé), du blanc d'oeuf, de l'huile, du sel, du sorbitol, du sulfate de calcium à la pâte. Et pour faire illusion, quelques arômes (naturels ou artificiels de crabe, crevette, langouste, etc.) et colorants (le paprika 'désépicé' est utilisé pour colorer la surface du surimi en orange) font le reste, avant la mise en forme pour la commercialisation. Ils sont donc très riches en conservateurs et autres additifs. Et vu les quantités que nous pouvons consommer par ailleurs dans d'autres aliments, voilà notre facture bien alourdie, au risque de dépasser très vite la dose journalière admissible (DJA). C'est aussi pour cette raison qu'il vaut mieux éviter ces surimis pour les enfants, qui ont une DJA plus basse.
100 % pur jus... vraiment ?
Envie d'un bon jus d'orange ? On va devoir vous décourager une fois de plus... Prenons au hasard la briquette qu'emportent les enfants. La mention "Avec 100 % pur jus" nous incite à faire confiance. Et pourtant... En tout petit, sur le côté, il est inscrit "À base de jus d'orange concentré". Mais qu'est-ce que cela signifie, enfin ? 100 % pur jus laisse penser qu'il s'agit d'oranges pressées sans traitement, mais il n'en est rien : les oranges ont été pressées dans le pays où elles ont été cultivées, le jus a été porté à ébullition pour faire évaporer l'eau. À la fin de ce processus, il ne reste qu'un huitième de la quantité de jus qui se présente sous une forme gélatineuse : le concentré. Il est alors exporté vers les usines de fabrication des jus industriels où on lui rajoute de l'eau. Mais est-ce un problème ? D'après l'enquête de Test-Achats, parue dans son édition d'avril 2010, le goût y perd : "Les arômes disparaissent aussi lors de l'évaporation de l'eau. Ils peuvent être capturés et réincorporés ultérieurement, mais la saveur originelle est définitivement perdue. Le traitement à chaud nuit également au goût." (1) Une orange est déjà naturellement sucrée à raison de 12-15 %, donc le jus d'orange est, par définition, déjà sucré : le jus d'orange sans sucre n'existe pas. Mais les fabricants peuvent alors indiquer la mention "Sans sucres ajoutés" : dans ce cas, mieux vaut la vérifier en jetant un coup d'oeil à la liste des ingrédients et le pourcentage de sucre. Car les producteurs peuvent corriger l'acidité par l'ajout de 15g de sucre par litre de jus supplémentaires (exprimée en matière "sèche") sans devoir le mentionner... Entre 15g et 150g, ils doivent indiquer "Sucré" ou "Avec sucres ajoutés".
Chocolat blanc : du chocolat, vraiment ?
Composé essentiellement de beurre de cacao, de sucre, de poudre de lait, de lécithine et de vanille, n'est-il pas un peu exagéré d'appeler cela du "chocolat" blanc, lui qui ne contient même pas un gramme de cacao ? D'autant qu'il bénéficie de la bonne réputation du chocolat qui se justifie d'ailleurs surtout pour sa version noire ! Si au niveau des calories, il est à peu près équivalent, c'est dans la distribution de ces calories que l'on remarque une différence : le "chocolat" blanc contenant quelque 55 à 60 % de sucre, contre 25 à 28 % pour le chocolat noir à 70 % de cacao, qui s'avère pour sa part plus riche en lipides (40 % contre 30 % pour le "chocolat" blanc).
L'essentiel des différences se retrouve dans les minéraux et vitamines : le "chocolat" blanc ne nous donne pas ou beaucoup moins de magnésium, de potassium, de manganèse, de fer, de cuivre, de zinc ou d'iode. Son seul point positif est une richesse en calcium plus grande que le chocolat noir. Côté vitamines, il est plus riche en vitamine A beta-carotène, en vitamine E et en vitamine B2 (le double du chocolat noir), mais est moins riche en vitamine B1, B3, B6, B9 et B12...
Tous nos remerciements à Serge Pieters, diététicien-nutritionniste, président de l'Union Professionnelle des diplômés en Diététique de Langue Française (UPDLF) pour sa supervision.
Source : http://informationsnutritionnelles.fr
Par Carine Maillard

mercredi 24 juin 2015

Rhexia (Langage des fleurs)

Erreur de jugement
Les rexias sont des plantes généralement herbacées, à tiges dressées, tétragones, portant des feuilles opposées, ovales, soyeuses, à nervures très marquées; les fleurs, dont la couleur varie du jaune au pourpre, sont munies de bractées et groupées en panicules, en cymes ou en corymbes terminaux.
Plusieurs de ces plantes sont cultivées dans les jardins.

Soutenons les productions locales

Si nous ne nous défendons pas bientôt c'est toute la production locale qui disparaîtra au profit de l'agro alimentaire, ici c'est un fromage sacrifié sur l'autel de la malbouffe,(au profit de sociétés qui produisent ce Herve insipide au lait pasteurisé) demain ce seront les produits de votre jardin (c'est en bonne voie) 


mardi 23 juin 2015

Semis de haricots non conventionnels

Le jardin est en train de s'agrandir, Adrien a nettoyé la parcelle arrière de +/- 80m² et Manu joue chaque WE de la hache et de la scie.
Mais pour l'instant nous devons ruser pour exploiter au mieux la place disponible.
Le problème qui se posait, nous aurions voulu ajouter quelques lignes de haricots, mais là où nous allons les mettre il y a les échalotes donc nous risquons d'être un peu tard pour les semer, c'est Marc Herman du "Potager Retrouvé" qui m'a inspiré la solution.
Il utilise cette technique pour avancer les petits pois et je l'ai transposée ici pour les haricots.

Un petit tour chez Mr Bricolage pour me procurer quelques gouttières (ils sont sympa, j'ai pu les couper et les ajuster sur place, outils fournis SVP)
Quelques trous au fond, un peu de terre.....
Les haricots sont semés dans ces jardinières improvisées et au moment de la plantation, il nous suffira d'enlever les côtés (non collés et de faire glisser le tout dans une petite tranchée et tout se met en place)
 Les huit gouttières sont semées
Un bon arrosages et il n'y a plus qu'à attendre que cela pousse, maintenant nous ne sommes plus stressé par les échalottes
Merci Marc pour l'idée que je partage ici

samedi 20 juin 2015

Ne les abandonnez pas!


Je souhaite de très mauvaises vacances à tous les enfoirés qui ont ou vont abandonner leur chien ou leur chat et qui dorment tranquilles pendant que leurs compagnons agonisent dans les fossés, meurent de faim et/ou de soif au soleil, ou s'entassent dans des refuges où ils seront euthanasiés dès le mois prochain faute de place. partagez ça sur vos murs, ça finira bien par arriver aux oreilles des concernés....

Pic-nic au jardin

 Ce samedi, Marc Herman du "Potager retrouvé", formateur à la Ville de Liège est venu visiter le jardin avec un groupe de futur "potagistes"
La visite fut très instructive pour les visiteurs comme pour le visité, comme toujours dans ces cas là, l'échange fut extraordinaire
La visite s'est terminée par un succulent pic nic, chaque participant avait préparé un plat et tout fut partagé et englouti dans la bonne humeur
Merci Marc pour cette merveilleuse journée et à l'année prochaine
(Ton clafouti aux fraises, une merveille)