lundi 19 mai 2014

Comment réaliser un potager urbain sur un espace réduit à peu de frais

Quelques planches de palettes, des vis, un scie et un peu d'imagination et voici un petit potager qui trouvera sa place dans une petite cour bien exposée.
Certes, vous ne remplirez pas votre congélateur mais vous pourrez vous faire plaisir en dégustant de délicieuses salades et des herbes qui valent largement celles du Monsieur qui se décarcasse
En empilant deux bacs de manutention vous pouvez réaliser des bacs de 80 X 120 cm qui vous permettrons de cultiver la plupart des légumes même sur le sol le plus ingras, ici, à gauche des salades et à droite tomates cerises et fraisiers
Vous pouvez aussi jouer sur les formes pour créer plusieurs espaces de culture et réserver par exemple un bac à chaque culture, les combinaisons sont infinies
Un peu de peinture à l'extérieur et vos bacs pourrons même s'intégrer dans une pelouse
 Anne donnant libre cours à son imagination pour un semis de carottes
La longueur des bacs n'est pas critique, mais essayez de ne pas dépasser 1m20 à 1m30 de largeur de manière à toujours atteindre le milieu sans devoir mettre le pied dans le bac
La hauteur, 40 à 60 cm selon le volume de terre dont vous disposez: ici nous avons creusé le sol sur +/- 30 cm, rempli la fosse avec des branches et du bois mort puis du compost brut (non terminé) et ensuite remis la terre.
Pour cette réalisation, un tour de parpaing, des planches de récupération, un plastic de protection côté intérieur




samedi 3 mai 2014

Que c'est bon d'oublier la civilisation quelques heures:

Le WE dernier, Christophe, Martin, Patrick, Bruno, et Flagada Jones (désolé, je n'ai pas retenu ton prénom) m'ont convié à un petit WE nature
Malheureusement je n'ai pu les rejoindre que le dimanche matin, mais ces quelques heures de liberté furent un réel bonheur
Le feu est démaré, le WE est officiellement lancé
Christophe et Bruno se rappellent le bon vieux temps du scoutisme
Vie sauvage ne veut pas dire privations, ribs, poulet, tomates et dans la casserole: magret de canard aux lentilles
Bruno m'initie a la fabrication du pain bannick, cuit sur piques au feu de bois, un vrai régal
 
Un hamac, une bâche, un peu de ficelle, un bande ce copains, que faut-il de plus pour être heureux
Christophe a préféré le sol, luxe suprême, l'éclairage
Une simple branche fendue et voilà une broche parfaite, désolé, nous ne pouvons vous montrer les saucisses, elles sont toutes mangées
Merci les gars pour ces quelques heures trop vite passées, le partage des connaissances et la bonne humeur, nous remettrons cela dès que possible