Dans la Gaule celtique, c'était une herbe sacrée aussi vénérée que le gui. Les druides voulaient qu'elle soit cueillie losque ni le soleil, ni la lune ne se montraient dans le ciel, comme s'ils commettaient un larcin.
Après l'avoir arrachée, ils devaient déposer du miel sur le sol pour que la terre leur pardonne de l'avoir privée de verveine:
On confond souvent la verveine officinale et la verveine citronnelle venue des pays chauds, et dont le feuillage répand une odeur citronnée caractéristique.
La verveine officinale, dite aussi verveine sauvage, était considérée comme herbe sacrée dans les temps anciens: les Grecs et les Romains la vénéraient comme les Celtes qui lui témoignaient autant d'égards qu'au gui. Les Grecs disaient qu'elle était née des larmes de Junon (l'épouse du dieu des dieux: Jupiter). Selon eux elle chassait les mauvais esprits. Ils en balayaient les autels de leurs dieux.
D'aspect, elle ne paie pas de mine avec ses petites feuilles dentelées et son allure sèche. On ne la remarque que lorsqu'elle fleurit, avec des petits épis un peu lâches de couleur violacée. A contraire de la verveine citronnelle qui embaume dès qu'on l'approche, cette verveine sauvage, plus modeste doit être froissée entre les doigts pour être reconnue: un parfum légèrement citronné et finement amer, qui plait aux abeilles venant se poser sur ses fleurs.
La verveine citronnelle a des feuilles beaucoup plus longues et sans dents, d'un joli vert tendre sentant fortement le citron. une odeur si pénétrante qu'elle fait fuir les moustiques: il suffit de poser un coton bien imbibé près de son lit pour éloigner les femelles voraces (ce sont elles qui piquent, ou d'en planter un ou deux arbustes devant ses fenêtres, pour avoir la paix. Dans les Landes par exemple, autrefois région de marécages infestée de moustique, la coutume est restée de planter de la verveine citronelle devant la maison.
Il est préférable de récolter la verveine sauvage dans la nature avant qu'elle n'ait complètement fleuri.
La verveine citronnelle, venue du Chili au XVIIIe siècle, a besoin de chaleur et de soleil. Plante gélive, mieux vaut la cultiver en pot. Si vous habitez une région froide, vous pouvez, après l'avoir rabattue en automne, la rentrer l'hiver, dans une pièce claire.
Après l'avoir arrachée, ils devaient déposer du miel sur le sol pour que la terre leur pardonne de l'avoir privée de verveine:
On confond souvent la verveine officinale et la verveine citronnelle venue des pays chauds, et dont le feuillage répand une odeur citronnée caractéristique.
La verveine officinale, dite aussi verveine sauvage, était considérée comme herbe sacrée dans les temps anciens: les Grecs et les Romains la vénéraient comme les Celtes qui lui témoignaient autant d'égards qu'au gui. Les Grecs disaient qu'elle était née des larmes de Junon (l'épouse du dieu des dieux: Jupiter). Selon eux elle chassait les mauvais esprits. Ils en balayaient les autels de leurs dieux.
D'aspect, elle ne paie pas de mine avec ses petites feuilles dentelées et son allure sèche. On ne la remarque que lorsqu'elle fleurit, avec des petits épis un peu lâches de couleur violacée. A contraire de la verveine citronnelle qui embaume dès qu'on l'approche, cette verveine sauvage, plus modeste doit être froissée entre les doigts pour être reconnue: un parfum légèrement citronné et finement amer, qui plait aux abeilles venant se poser sur ses fleurs.
La verveine citronnelle a des feuilles beaucoup plus longues et sans dents, d'un joli vert tendre sentant fortement le citron. une odeur si pénétrante qu'elle fait fuir les moustiques: il suffit de poser un coton bien imbibé près de son lit pour éloigner les femelles voraces (ce sont elles qui piquent, ou d'en planter un ou deux arbustes devant ses fenêtres, pour avoir la paix. Dans les Landes par exemple, autrefois région de marécages infestée de moustique, la coutume est restée de planter de la verveine citronelle devant la maison.
Il est préférable de récolter la verveine sauvage dans la nature avant qu'elle n'ait complètement fleuri.
La verveine citronnelle, venue du Chili au XVIIIe siècle, a besoin de chaleur et de soleil. Plante gélive, mieux vaut la cultiver en pot. Si vous habitez une région froide, vous pouvez, après l'avoir rabattue en automne, la rentrer l'hiver, dans une pièce claire.
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