mercredi 25 juin 2014

Le taboulé de Anne, un vrai régal



 Lors du BBQ qui a cloturé les visites du jardin, Anne nous a préparé un merveilleux taboulé, (absolument rien à voir avec les taboulés industriels), je n'ai pas pu résister à lui demander sa recette:

Placer le boulghour cru dans un grand bol. 
(dans une épicerie turque il y a un grand choix y compris du complet pour qui aime )
Dans un autre bol quelques belles tomates crues bien mûres débarrassées du "trognon" ,
les moudre avec leurs peaux et leurs pépins , ce qui est excellent pour la santé .
Verser cette fine " purée"crue sur le boulghour ,mélanger souvent laisser absorber .
Rajouter du jus de tomates si nécessaire .
Verser une bonne quantité de bonne huile d'olives (Grèce ou Crête par ex.)
Sel (de mer) - poivre (noir) .
Jus de citron frais .
Un ou deux oignons fins tiges et boules coupés en petits-petits tronçons .
Une poignée de persil plat bio ciselé aux ciseaux dans un verre .
Bien mélanger après chaque adjonction .
Pour finir : ciseler  grossièrement les feuilles d'une branche de menthe verte fraîche bio .
Mélanger et placer dans le frigo avant de servir .
Garnir avec des petits-petits cubes tomates épluchées et épépinées .
Bon appétit!

mardi 24 juin 2014

Freûd d'bot'roûle



Ces derniers temps nous avons eu beaucoup de travail au jardin, la construction des nouveaux bacs, la préparation des portes ouvertes etc...
Donc une fois de plus le blog s'en est ressenti
Je reviens donc avec ce billet de circonstance de P H Thomsin  

 Source image, Internet (si vous possédez un droit sur cette image et que vous vous opposiez à sa publication, un petit mail et elle sera retirée)
Freûd d’ bot’roûle

Meûs d’ djun ! L’ osté nos vint mostrer si vrêye vizèdje.
Li solo si fêt pus franc.
I n’ a qui lès «måy-contints» po trover qu’ i fêt trop tchôd.
Èt, di tote manîre, cès-la,  i fèt l’ hègne po tot èt po rin,
bon qu’ i s’ plindèt tot fî parèy, ine fèye qui nosse
solo si catche podrî ‘ne nûlêye...
Mi, po m’ pårt, dji n’ a måy rigrèté, seûye-t-i on bleû cîr,
seûye-t-i ‘ne doûce tchôleûr...
 Çou qui m’ mète pôr so l’ houp’diguèt,
mi, è meûs d’ djun, c’ èst qui lès feumes sont todi pus bèles.
Siya, siya !
Bin awè ! Come di djusse, èle ni loukèt nin a ‘ne djèye po lèyî veûy leûs djambes, leûs brès’, leû... Leû «rondeûrs», qwè !
La qu’ i lût lès cwate solos, èle n’ ont pus sogne dè haper on måva freûd... Adon,
po lès hanteûs a v’ni, qui n’ volèt nin, télefèye, atch’ter on tchèt divins on sètch,
c’ èst l’ moumint dè drovi leûs-oûy !
Èt mi, qui n’ a nin mès-oûy è m’ potche, dj’ ènnè profite po rascoyî m’ payèle di
bèlès-îmådjes !...
Ci n’ èst pûs, oûy, come divins l’ tins, parèt.
Dè tins di m’ grandmére, è l’ iviér come è l’ osté,
lès feumes tchåssît todi tofér li minme longue cote qui pindéve disqu’ al tére,
si mètît on fichu so leû tièsse, èt s’ ni vèyéve-t-on wêre qui l’ bètchète di leû narène !
Asteûre, c’ èst tot-ôte tchwè.
Dji n’ vis såreû dîre pocwè (mutwèt cåse qui lès moussemints sont todi pus tchîrs), mins çou qu’ èst sûr, c’ èst qui lès feumes si moussèt todi pus coûrt !
Lès cotes qui pindît so lès solés ont racoûrci,
come s’ on l’s-avasse bouwé trop tchôd!
Avou on trop tchôd solo, télefèye !
Èt, fåt creûre qu’ on l’s-a pôr bouwé, ine bèle hope di fèyes,
al copète dè martchî, pace qu’ èle ni ravizèt torade pus qu’ on norèt d’ potche !...
I fourit l’ tins qu’ on ‘lzî vèyéve djusse lès pîds èt on pô pus’, a nos binamêyes.
 I fourit l’ tins qu’ on ‘lzî a mètou lès gngnos a l’êr. Asteûre,
i fåt bin loukî po veûy li coleûr dèl sitofe ! Awè mins ci n’ èst rin, çoula...
Vola qu’ èle si mètèt pôr a bouwer l’ hôt ossi tchôd qui l’ bas !
Come si nos n’ avîs nin co assez dè taper nos-oûy so leûs djambes èt so leûs brès’, ni vola-t-i nin qu’ èle nos fèt pôr veûy leûs stoumac’ !
Leû stoumac’ èt leû bot’roûle, s’ i v’ plêt !
Fåt-i nin assoti !
C’ èst, po l’ pus sûr, cåse di çoula qui lès-omes ont todi pus tchôd !...
Awè mins vola, parèt...
La qu’ èlle atrapît dèdja on måva freûd, å prumî p’tit côp d’ vint on pô pus fris’,
i n’ fåreût nin tot l’ minme, asteûre, qu’ èle hap’rît on freûd d’ bot’roûle !...
Vos lès vèyez, vos stchèrni dèl bot’roûle ?...
Èt adon, bon qui l’ tére si rèstchåfe, on pô pus’ tos l’ s-ans,
Dji so-st-a m’ dimander çou qu’ èlle åront co l’ has’ di r’côper,
Divins quéquès-annêyes !...

Cwant-èle ricôpèt leûs moussemints,
Èle ni s’ dotèt nin, lès feum’rèyes,
Qui l’ ome, sins rîre, fåt qu’ ènnè rèye
Po n’ nin passer po ‘n-ènocint.

 Billet de Paul Henry Thomsin, publié ici avec l'aimable autorisation de l'auteur.

3ème édition "Portes Ouvertes", Un beau succès!

Pour la troisième année nous avons été repris dans l'opération "Découverte de jardins et cois secrets de Liège" organisée par l'échevinat du tourisme de Liège
Moins de monde cette année, foot oblige (la Belgique jouait en cette fin d'après midi), mais le public peut-être plus ciblé s'est montré très intéressé et les question furent beaucoup plus ciblées que lors des éditions précédentes.
C'est sous un soleil radieux que le public à pu admirer le look remanié du jardin et les nouveaux bacs de culture ont fait leur petit effet
Comme lors des éditions précédentes la journée s'est terminée par un succulent BBQ avec viande provenant d'une ferme bio (merci Philippe)
Un grand merci aussi à toute l'équipe qui a oeuvré sans compter pour assurer la réussite de cette manifestation
Des contacts très intéressants ont étés pris avec notamment des artistes peintres afin d'organiser une séance de peinture et aquarelles au jardins ainsi que visites d'écoles en septembre
Place maintenant aux images (reportage photo réalisé par Notre amie Chantal)
Vu la température, les fontaines à eau dispersées dans les endroits ombragés ont eu un franc succès
Amélie, la benjamine du jardin près de la mare aux grenouilles
"Naissance" d'une  coccinelle saisie par Chantal
De petites station de repos ont vraiment contribuer à mettre nos visiteurs à l'aise durant cette visite
Philippe à l'air d'apprécier notre soupe, Panais, carottes et leurs fanes

Le BBQ
Un super taboulé, entièrement préparé par Anne et décoré de fleurs de bourrache
La salade du jardin bien sûr, décorée de fleurs de pensées et de capucines
Antoine à la cuisson
Désolé, je ne puis transmettre l'odeur

Ainsi s'est terminé une superbe journée, le plus difficile fut de faire un choix parmi plus de 150 photos réalisées par chantal

lundi 19 mai 2014

Comment réaliser un potager urbain sur un espace réduit à peu de frais

Quelques planches de palettes, des vis, un scie et un peu d'imagination et voici un petit potager qui trouvera sa place dans une petite cour bien exposée.
Certes, vous ne remplirez pas votre congélateur mais vous pourrez vous faire plaisir en dégustant de délicieuses salades et des herbes qui valent largement celles du Monsieur qui se décarcasse
En empilant deux bacs de manutention vous pouvez réaliser des bacs de 80 X 120 cm qui vous permettrons de cultiver la plupart des légumes même sur le sol le plus ingras, ici, à gauche des salades et à droite tomates cerises et fraisiers
Vous pouvez aussi jouer sur les formes pour créer plusieurs espaces de culture et réserver par exemple un bac à chaque culture, les combinaisons sont infinies
Un peu de peinture à l'extérieur et vos bacs pourrons même s'intégrer dans une pelouse
 Anne donnant libre cours à son imagination pour un semis de carottes
La longueur des bacs n'est pas critique, mais essayez de ne pas dépasser 1m20 à 1m30 de largeur de manière à toujours atteindre le milieu sans devoir mettre le pied dans le bac
La hauteur, 40 à 60 cm selon le volume de terre dont vous disposez: ici nous avons creusé le sol sur +/- 30 cm, rempli la fosse avec des branches et du bois mort puis du compost brut (non terminé) et ensuite remis la terre.
Pour cette réalisation, un tour de parpaing, des planches de récupération, un plastic de protection côté intérieur




samedi 3 mai 2014

Que c'est bon d'oublier la civilisation quelques heures:

Le WE dernier, Christophe, Martin, Patrick, Bruno, et Flagada Jones (désolé, je n'ai pas retenu ton prénom) m'ont convié à un petit WE nature
Malheureusement je n'ai pu les rejoindre que le dimanche matin, mais ces quelques heures de liberté furent un réel bonheur
Le feu est démaré, le WE est officiellement lancé
Christophe et Bruno se rappellent le bon vieux temps du scoutisme
Vie sauvage ne veut pas dire privations, ribs, poulet, tomates et dans la casserole: magret de canard aux lentilles
Bruno m'initie a la fabrication du pain bannick, cuit sur piques au feu de bois, un vrai régal
 
Un hamac, une bâche, un peu de ficelle, un bande ce copains, que faut-il de plus pour être heureux
Christophe a préféré le sol, luxe suprême, l'éclairage
Une simple branche fendue et voilà une broche parfaite, désolé, nous ne pouvons vous montrer les saucisses, elles sont toutes mangées
Merci les gars pour ces quelques heures trop vite passées, le partage des connaissances et la bonne humeur, nous remettrons cela dès que possible



jeudi 17 avril 2014

Les enfants et la terre (suite)

Deux charmantes demoiselles ont rejoint l'équipe, Casey et Amélie, 7 et 9 ans et c'est avec ardeur qu'elles se sont mises à l'ouvrage
Trois petits bacs et un grand leur ont été réservés, c'est elles qui décident ce qu'elles vont y mettre, elles gèrent seules leurs semis et plantations, l'équipe ne fait que de l'assistance technique.
Quelques fleurs séparent le grand bac
Muflier, ancolie, pensées
Elles ont semé: Betteraves chiogga, Navet boule d'or, diverses salades, Mizuna, cerfeuil, radis et plein d'autres choses encore
Los de cette journée, elles ont découvert les différentes sortes de graines, utilisé un semoir pour les plus petites (carottes, salades, radis) et semer graines par graines les plus grosses (betteraves, bettes....)
Appris l'importance de l'étiquetage et aussi à arroser sans faire de flaques
Curieuses comme tous les enfants, elles ont repéré les fruitiers, groseilles, cassis, fraisiers etc.... et élaborent de futurs projets de maraude (surveillées) ainsi que les jus qu'elles pourront confectionner.




jeudi 20 février 2014

La prison pour avoir refusé de polluer

Vous avez signé ? Bravo et Merci !

Mais avez-vous tranféré ce message à vos proches,
vos familles, vos amis ?


Si ce n'est pas vous, qui leur dira ?

Personne ne doit ignorer que des personnes en France risquent :

La prison pour avoir refusé de polluer !

Chère amie, cher ami,

Emmanuel Giboulot, viticulteur bio dans le département de la Côte-d'Or, exploite depuis plus de quarante ans 10 hectares de vignes en agriculture biologique.

Le 24 février 2014, il passera devant le tribunal correctionnel pour avoir refusé de déverser un dangereux pesticide sur sa vigne. Il encourt jusqu'à 6 mois d'emprisonnement et 30 000 euros d'amende.

Par solidarité avec lui, je vous demande de signer la déclaration de soutien située en bas de ce message.

Un insecticide qui détruit les abeilles

En juin dernier, pour contrer un risque hypothétique d'épidémie de flavescence dorée, une maladie de la vigne, le préfet de Côte-d'Or a pris un arrêté radical : tous les vignerons devront traiter leur vigne contre la cicadelle, l'insecte qui répand la maladie.

Le problème est que même l'insecticide le moins polluant contre la cicadelle tue les abeilles et la faune auxiliaire.

Il détruit toutes sortes d'insectes nécessaires à la régulation de la vigne pour éviter les parasites. Or, Emmanuel Giboulot travaille justement depuis plus de 40 ans à préserver les équilibres biologiques de sa vigne.

Il décide donc, fort logiquement, de lutter contre la cicadelle en choisissant parmi les nombreux traitements naturels bien connus des agriculteurs bio.

Il était tranquillement au travail l'été dernier quand arrive chez lui un inspecteur de la direction régionale de l'Agriculture. L'inspecteur s'aperçoit qu'il n'a pas déversé de pesticide.

Il décide aussitôt de le signaler au procureur. Emmanuel Giboulot est mis en examen, comme un délinquant.

Traîné en correctionnelle !!

Emmanuel Giboulot est convoqué le 24 décembre pour un arrangement amiable avec le procureur, mais celui-ci annule au dernier moment.

Au lieu de classer l'affaire, le procureur décide de le renvoyer devant le tribunal correctionnel, avec un procès le 24 février prochain !

Emmanuel Giboulot sera donc jugé aux côtés de délinquants sexuels et de cambrioleurs endurcis, qui forment la population habituelle des audiences correctionnelles.

Le problème est que, en dehors de quelques réactions isolées, personne ne s'est exprimé publiquement pour défendre Emmanuel Giboulot.

Aucune réaction massive n'a eu lieu dans la population, jusqu'à présent.

L'IPSN avait créé une page de soutien sur Facebook pour Emmanuel Giboulot, qui a récolté plus de 35 000 soutiens. Mais, vu le contexte, la mobilisation doit aujourd'hui être infiniment plus forte et plus officielle.

Les alternatives naturelles sont efficaces !

En effet, contrairement à ce qu'affirment les autorités, il existe plusieurs moyens de protéger les vignes contre la cicadelle tout en respectant l'environnement :
  • les vignes peuvent être protégées avec des fougères et de l'argile calciné ;
     
  • des pièges à cicadelle existent, et ils sont efficaces (la cicadelle est attirée par la couleur orange) ;
     
  • on peut également poser entre les pieds de vigne de la paille d'avoine ou du papier d'aluminium, dont la forte intensité lumineuse empêche l'insecte de se poser. Des expériences ont montré que cette simple mesure est tout aussi efficace que l'insecticide ;
     
  • mais surtout, surtout, c'est en préservant la biodiversité qu'on lutte le mieux contre la cicadelle, car c'est un insecte apprécié par de nombreux prédateurs dans la nature. Le problème est que ces prédateurs, les araignées, la mante religieuse et certains types de punaises, ont aujourd'hui été éradiqués dans les vignes non biologiques, où la faune est ravagée par les insecticides.
     
Ces solutions ne devraient pas être combattues mais au contraire encouragées par les autorités.

Les agriculteurs qui les utilisent devraient être félicités et donnés en exemple, non pas soumis à la terreur d'une répression judiciaire.

C'est pourquoi je vous demande de signer la déclaration de soutien à Emmanuel Giboulot.

Signez la déclaration de soutien

Emmanuel Giboulot ne doit pas se rendre au tribunal abandonné de tous. Il doit savoir qu'il est soutenu par des centaines de milliers de personnes.

Oui, si vous signez la déclaration de soutien ci-dessous, et si vous passez ce message à tout votre carnet d'adresses, nous pouvons provoquer une vague de solidarité historique dans le pays.

Nous pouvons aussi changer l'issue de ce procès en rassemblant des centaines de milliers de signatures de soutien.

Car sans réaction massive de la population, ce viticulteur risque très probablement d’être condamné, pour l'exemple.

La plupart des agriculteurs bios qui verront cela se le tiendront pour dit. Ils comprendront qu'ils doivent obéir aveuglément aux injonctions des autorités, y compris si cela implique d'empoisonner leur propre terre et de décimer plus encore les abeilles et autres insectes pollinisateurs !!

Ne laissez pas se commettre une telle injustice, avec des conséquences aussi lourdes et contraires à l'intérêt de tous. Manifestons publiquement notre réprobation la plus totale contre les réglementations qui marchent à l'envers et qui nuisent autant à l'environnement qu'au bon sens.

L'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle vous appelle donc solennellement à signer la déclaration officielle de soutien à Emmanuel Giboulot et à la faire signer par tout votre entourage.

Cela ne vous demandera qu'un instant, mais c'est un moyen concret d'empêcher qu'une grave injustice ne soit commise, doublée d'une grave atteinte à notre planète.

S'il vous plaît, ne fermez pas cet email pour l'envoyer aux oubliettes. Ce serait un énorme gâchis. Puisque vous avez investi du temps pour lire ce message jusqu'ici, faites un geste simple et signez la déclaration officielle de soutien à Emmanuel Giboulot.

Puis transmettez ce message à toutes vos connaissances.

Un grand merci,

Avec tout mon dévouement,

Augustin de Livois

Président de l'Institut pour la Protection de la Santé Naturelle

samedi 15 février 2014

Florilège de liégeoiseries!

Paul Henry Thomsin, vous connaissez?
Mais si, vous le connaissez, c'est lui qui signe la plupart des billets Wallons relayés sur ce blog
Eh bien, ce jeudi 20 février il sera à la Maison de la Laïcité de Sainte Walburge pour y donner une conférence sur les  "liégeoiseries"
J'ai déjà entendu cette conférence, truculence et plaisirs garantis
La Maison de la Laïcité de Sainte-Walburge asbl vous propose la
conférence de Paul-Henry Thomsin «Nous sommes les seuls au
monde… Florilège de liégeoiseries», le jeudi 20 février à 19h30.
Certains trouvent la langue wallonne dépassée ou la prétendent morte,
même le temps n’a pu effacer sa présence sur nos lèvres.
D’autres se défendent de la connaître, de la comprendre, de la pratiquer, 
ils portent ses marques indélébiles, ils en sont imprégnés, 
ils sont génétiquement modifiés par elle. 
En effet, la langue wallonne est le véhicule de notre passé, 
de notre histoire, de notre culture et est donc un acteur du présent.
La langue wallonne nous a permis de créer un bilinguisme original, 
un parler unique dans lequel le wallon est présent quotidiennement.
Ni l’instruction obligatoire, ni les révolutions politiques, économiques
ou sociales n’ont pu effacer la présence de ce parler naturel parce qu’il fait partie de
notre affectif.

Où?
Place Ste-Walburge, 1
à 4000 Liège
Quand?
Je. 20/02, à 19h30
Combien?
Entrée libre
Info?
04/233.50.71
0473/53.06.72

Au fait, ami lecteur, si tu passe par Liège, ne manque surtout pas une petite visite à la boutique aux trésors du pays de Liège, rue des Mineurs, à deux pas du Perron et de l'Hôtel de Ville.